Nana Komatsu ~ FINISH ~ Love Love and Love <3 || Muse des BLAST

I - IDENTITÉ

NOM(S) ET PRÉNOM(S) : Nana Komatsu

SEXE : Féminin

ÂGE : 23 ans

STATUT : {POSTES VACANTS} (job conjoint) Boulots journaliers, mariée à Takumi Ichinose

GROUPE DÉSIRÉ : ///

II - PHYSIQUE

Nana Komatsu ne possède pas un physique exceptionnel, mais a l'étrange capacité d'envoûter la gente masculine. Des yeux bruns qui sont une grande partie de son temps joyeux et rieurs, de couleur brune, à tendance noisette. Tout ce qui n'est pas descriptible avec des paroles, elle tente de le faire passer à travers son regard. Il n'est pas rare de voir un sourire sincère fendre son visage, preuve de sa bonne humeur. Des larmes surgissent très facilement de ses yeux, elle possède "la larme facile", peu de choses ne sont divulguées sans qu'une ou deux larmes coulent. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, elle à la caractéristique d'être petite, mais sa taille fine et svelte la compense. Ses cheveux sont assez longs et atteignent environ le milieu de son dos, leur couleur et aussi brune que ses cheveux, bien qu'un reflet presque roux les traversent. Elle a un visage assez rond, et en est d'ailleurs très complexée.
Sa couleur de peau est pâle, comme beaucoup de Japonais.. Ses lèvres sont fines et douces, même légèrement charnues, ce qui est assez difficile à remarquer; un sourire constant marquant son visage. Côté fantaisie, Nana garde toujours une touche de mascara à appliquer sur ses yeux, bien qu'elle ne va pas jusqu'à les recouvrir d'un fard à paupière, tout comme Nana Ôsaki. Une once de parfum trace constamment son sillage, une petite odeur féminine, rien de provocateur, une douce senteur de pêche, pourtant, il n'est pas rare de la voir changer de parfum, elle n'a pas peur de tenter des choses nouvelles. Sa poitrine est de taille tout à fait convenable, elle reste tout de même petite.

Nana Komatsu a la particularité de se vêtir au gré des saisons, des jours des mois, mais surtout de son humeur. Il lui arrive parfois de ne pas se maquiller, par un manque de temps, ou alors parce que l'humeur n'y est pas. La jeune femme craint le regard des autres, se savoir mal habillée la rend anxieuse, soigner son apparence lui est donc primordial, mais elle n'est pas du genre à passer des décennies dans une salle d'eau. A l'époque où Nana habitait en collocation avec Nana Ôsaki, il n'était pas rare de la voir lui emprunter telle ou telle parure, bijoux, ou autre. Elle est en réalité fascinée par l'attachement que Nana porte à Vivienne Westwood, mais garde toujours ses propres habitudes. Nana aime les couleurs, elle possède une gamme très élargie de vêtements de toutes couleurs, sa préférée étant le rose. Elle adore tout ce qui se rapporte au rose, son adoration devenant presque exagérée, malgré le peu de rose porté par Nana Ôsaki.
Elle se tient droite, et, contrairement à sa colocataire, n'est pas bossue.
Il lui arrivera très souvent de mordiller discrètement ses lèvres, signe prouvant son anxiété, sa peur et ses craintes. Même dès votre première rencontre, Nana Komatsu sera très souriante et ouverte. Il ne lui ait encore jamais arrivé de fixer quelqu'un insolemment, froidement, ou même indifféremment. Elle va rapidement admirer une de vos qualités ( ou vos défauts ) car elle de nature à voir de manière très subjective les personnes, jugeant prioritairement son avis le plus correct. Elle ne fume pas même si voir une grande partie de son entourage avec une cigarette ne la jamais vraiment dérangée.

Autrefois, Nana Komatsu ne possédait pas, voir très peu, de féminité, mais à travers la naissance de Satsuki, son air féminin s'est particulièrement renforcé, son visage prenant des expressions plus calme, posées, perdant de manière radicale ses expressions gamines. Durant sa grossesse, elle pratiquait du yoga, et faisait même des abdominaux, mais suite à divers événements de la vie quotidienne, ses activités sportives se sont momentanément suspendues. Au travers des arts profonds de la cuisine, Nana Komatsu s'était trouvé une passion, où elle excelle aujourd'hui, et n'hésite pas à préparer avec brio un plat bien Japonais à sa fille.

650 mots

III- PSYCHOLOGIE

L'un des principaux atouts de Nana, c'est son sourire.
On pourrait même affirmer que tout se concentre à travers son sourire.
L'ancienne muse des Blast est une personne qui peut passer très facilement du coq à l'âne; des larmes de tristesse traversent son visage tandis que, l'instant d'après un magnifique sourire lui fend le visage. Bipolaire? Très franchement, je n'en suis pas très sûre. Nana est plutôt du genre à «vivre au gré du vent», tel un oiseau encore un petit peu perdu..

Il lui arrive très souvent de rire. Glousser, plutôt. Ses rires nerveux qualifient sa gêne et sa honte. Elle ne sourit généralement pour peu de choses, si ce n'ets pas pour dire de rien. Elle est piètrement maladroite, et c'est aussi grâce à cela qu'elle a fait la rencontre de Nana Ôsaki, dans le train. Nana rafole aussi des magazines et des histoires croustillantes, qui lui permettent parfois d'oublier ses problèmes personnels. Elle a aussi un grand défaut: elle admire les gens trop facilement et ne les lâche plus. Elle arrive aussi à trouver une qualité à la pire personne qui soit, qu'elle soit truande, voleuse, tueuse, bref, notre héroïne possède un cœur immense, toujours près à s'ouvrir aux mals-aimés.

Elle s'affole aussi trop vite, prenant donc des conclusions trop hâtives, ce qui la laisse dans des quiproquos pas possibles. Son esprit romantique et enfantin lui aura valu la sympathie de beaucoup de personnes, et ce dès le premier regard. Elle aussi très étourdie, naïve et insouciante. Elle est assez «fashionnable», comme on dirait de l'autre côté de l'Atlantique. Suite à l'isolement provoqué par sa grossesse imprévue, Nana s'est tout de suite retrouvée dans la cuisine, brèche qui lui a ouvert l'esprit. Depuis son enfance, elle a toujours rêvé de rencontrer le prince charmant, ce qui était une preuve de son immaturité, bien qu'elle ait retrouvé un semblant de ce qu'elle voulait en Takumi, qui lui arrive de lui rendre bien.

Les rares personnes qui lui adressent la parole découvrent une personne humaine, sensible, et blagueuse. Au plus profond d'elle-même, Nana a toujours gardé une marque indélébile de sa rupture avec Nobu, et de l'époque de «l'appartement 707». Plus que tout, c'est la présence de Nana qui lui manque aujourd'hui. Si il y a une chose que Nana déteste, c'est bien la solitude. Elle essaye de faire tout ce qu'elle peut pour ne jamais être seule et avoir une personne là pour la protéger, l'aimer comme il le faut, mais aussi une présence masculine lui est indispensable pour son bon développement. Sa relation avec Takumi stagne parfois, mais elle arrive à retrouver le sourire dès le lendemain, en se disant que telle est la continuité de la vie. Malgré le travail perpétuel de son époux, Nana Komatsu épouse Ichinose arrive parfaitement à gérer la maisonnée de Shirogane, sachant être sévère et douce au bon moment avec sa fille. Nana a aussi beaucoup de moments d'incertitudes, renforcés par la disparition de la chanteuse d'un des deux groupes qui a marqué l'histoire du rock japonais.

Il lui arrive aussi parfois de se ronger les ongles, action déclenchée par un grand stress ou une pression trop forte.

529 mots ~

V - HJ - FACULTATIF

PRÉNOM : Hachi >w<

ÂGE : 13 ans

SEXE : Féminin

COMMENT TROUVEZ-VOUS LE FORUM? Super Cool

PRÉSENCE SUR NANA-REVIVAL ? [Impératif] Weekend pendant les cours, hors-cours, tout les jours.

MOTS PAR POST {MOYENNE} : On va dire deux pages WORD

OU AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM?[Impératif] Fondatrice x)

CODE FICHE: Code bon ♪ by Soan

PERSONNAGE SUR VOTRE AVATAR: Nana Komatsu- NANA

Namé dis donc, n'aurais-tu pas dit toi même que les fiches en UC sont interdites? XD *sort*

Nan, j'ai pas fait pareil >o< (c'tait pas mwa XD)

je lirai si t'es sage Cool

IV - HISTOIRE

Ma ville natale est une ville
ni grande ni petite,
entourée de montagnes

Ce n'est ni un village
ni une métropole et elle n'a
aucun intérêt touristique

Je suis la cadette
d'une famille de trois enfants

Délaissée par des parents
ni riches ni pauvres
j'ai grandi peu à peu

Et je vais bientôt quitter
le lycée et cet état
de banale lycéenne.

C'était en 1999, quatre mois avant le mois de juillet, mois N°7. Le dieu de la terreur est descendu sur terre, avec mon crâne pour cible. Je le savais pourtant, cet amour était sans avenir.. mais c'était si soudain ! Et si brutal... c'était si stupide que je n'arrivais pas à pleurer.
Enfin si, j'ai quand même réussi finalement, lors de mon dernier jour de lycée. Jun était avec moi et je me plaignais encore du départ de M. Asano pour Tokyo. D'ailleurs c'est à ce moment-là qu'elle m'a dit avoir envie de tenter les fac d'arts de la capitale, pour moi c'était un désespoir de plus...

Quand j'y pense, ma vie de lycéenne a commencé avec une histoire d'amour, et s'est terminée avec une autre.

Je n'exagère pas ! Je vous raconte...

C'était au printemps, j'entrais en seconde. Dans ce lycée pour filles où je me désespérais à ne pas faire de rencontre, j'ai eu le coup de foudre pour le professeur d'arts, M. Okamoto (25 ans). Je n'étais pas vraiment douée en arts plastiques mais avec ma nouvelle amie Jun, nous nous sommes inscrites à ses cours. Depuis, j'aime beaucoup dessiner. Mais au bout d'un an, avant que cela n'évolue, il est parti pour un autre lycée. Je m'en voulais de ne pas m'être déclarée avant...
Ma seconde rencontre n'a pas tardé. C'était un employé du nouveau vidéo club de mon quartier, le charmant M. Nakamura (23 ans). Pour le voir, je louais des vidéos tous les jours. Depuis, j'adore le cinéma. Un jour, je lui ai parlé à cœur ouvert mais il m'a rejetée. Je me disais que c'était parce que j'avais été trop directe...

Puis j'ai fait d'autres rencontres mais c'était toujours peine perdue. Le sobre M. Kawasaki (35 ans), cuisinier. L'agréable M. Yoshida (20 ans), livreur de pizzas. J'ai pris trois kilos pour rien avec lui d'ailleurs ! En effet je suis peut-être sensible aux apparences. Malgré tout je ne veux pas d'un homme beau mais sans cœur. "La prochaine fois, je ne tomberais amoureuse qu'après avoir appris à le connaître". C'est ce que je m'étais juré.

Au début de l'été de ma terminale, j'ai fini par le rencontrer. J'avais fait un malaise en sortant d'une séance de cinéma. Parce que je faisais un régime draconien. J'ai eu "la tête qui tourne" et je suis tombée à genoux. Il est venu à mon secours tel un prince. Takashi Asano (29 ans). En fait, c'était peut-être un faux nom. Il a peut-être menti sur son âge aussi... Mais encore une fois, j'ai eu le coup de foudre. Il était si parfait ! Je lui ai dit de passer à mon travail pour que je puisse lui offrir quelque chose. Deux semaines durant, j'ai attendu mais il n'est pas venu... et mes sentiments pour lui se sont amplifiés. C'est pourquoi ce soir-là, en quittant le restaurant quand je me suis aperçue qu'il était venu m'attendre, j'éprouvais déjà pour lui un amour débordant... L'alliance qu'il portait à son annulaire, je l'ai tout de suite remarqué... mais j'ai décidé de ne pas m'en faire. Peut-être qu'à force de l'attendre, j'avais maintenant trop envie de lui. Mais je l'aimais de tout mon coeur, et j'étais persuadé qu'il m'aimait aussi.
A vrai dire, je ne connaissais de lui que son numéro de portable. Je ne savais ni où il vivait, ni dans quelle entreprise il travaillait. D'après lui c'était dans l'informatique... mais il mentait peut-être. Nous ne nous voyons que deux ou trois fois par mois... et à chaque fois c'était la même chose : voiture puis love hôtel. Malgré ça je croyais qu'il m'aimait... comme j'étais naïve ! Si j'avais continué à le voir ainsi, ma jeunesse se serait sans doute flétrie petit à petit, c'est mieux que nous nous soyons séparés. Je devais aller de l'avant.

Au printemps suivant, j'ai commencé les cours à l'école d'arts plastiques de ma ville natale avec ma meilleure amie Jun. Cette école est mixte alors j'avais décidé de faire des rencontres, armée de ma nouvelle coupe de cheveux... qui ne m'allais pas si bien que ça d'ailleurs, et d'une détermination à toute épreuve. En entrant dans la salle, mon regard a croisé celui d'un charmant jeune homme. Sur le coup j'ai paniqué quand je l'ai vu s'élancer vers moi... mais en fait il se précipitait vers Jun'. Ce garçon était un ami de collège de Junko et il s'appelait Shôji. Il nous présenta son ami, Kyosûke. Un peu plus tard, sur les conseils de Jun, je décidais de devenir amie avec eux, rien de plus. Il fallait que j'apprenne à voir les garçons comme des êtres humains et non comme des mâles. C'était bien tenté...
Les débuts furent laborieux, j'avais du mal à oublier M. Asano, mais au moins j'avais des amis et je voulais soigner le mal par une nouvelle relation. Je me voilais un peu la face... Alors que Jun et Kyosûke formèrent rapidement un couple, je rétorquais à mon amie que Shôji était trop important pour moi pour qu'il devienne mon petit ami. J'étais vraiment aveugle !

En juillet, nous sommes parti à la mer tous les quatre. C'est là-bas que Jun et Kyosûke nous ont apprit qu'ils allaient partir à Tokyo tenter les fac d'arts. J'étais terriblement triste, je me sentais abandonnée. Mais Shôji m'a remonté le moral, il a dit qu'il voulait essayer lui aussi et que je devrais faire pareil. Nous nous sommes donc tous mis à travailler dur pour être admis.
Malheureusement, Shôji et moi avons raté tous les concours d'entrée. Le plus dur a été de savoir qu'il allait rester à Tokyo pour repasser les concours mais qu'il me conseillait de retourner en province. Dans ma tête, ils me condamnaient tous à la solitude et partaient loin de moi sans se retourner.
Je rêvais d'habiter à Tokyo. Les boutiques, les coiffeurs à la mode, les beaux mecs...
C'est à cause de ça que nous nous sommes disputés Shô' et moi, un soir, en plein Tokyo.
Il me reprochait d'agir et de penser comme une gamine, de jouer avec les sentiments des autres et que mon discours sur l'amitié fille-garçon était une vaste blague. Il m'a abandonnée ainsi au milieu de la foule. J'étais perdue, je ne savais pas comment rentrer à l'hôtel. Et là... je me suis souvenu que j'étais dans la ville où cet homme habitait. Il m'a remarquée au milieu de tous ces gens.
Quelle coïncidence de tomber sur M. Asano !
Nous sommes allés boire un verre et nous avons beaucoup parlé. J'étais censée le détester, mais là, pas moyen de le haïr. Je devais arrêter d'avoir des pensées négatives. Je l'aimais sincèrement et il l'a accepté quelques temps. C'était déjà une chance, je n'avais pas me sentir misérable. M. Asano m'a montré le chemin pour rentrer à l'hôtel et nous nous sommes définitivement quitté. Sur la route, Kyosûke m'a appelé.
Apparemment, les autres paniquaient de me savoir perdue. Il m'a dit de rentrer à l'hôtel et que tout s'arrangerait puisque Shôji était dingue de moi... Sur le coup j'ai été presque choquée, mais au fond je le savais déjà... puisqu'en fait, moi aussi je l'ai toujours aimé. Dès le premier regard, il m'a plu. Mais j'étais sous le choc. J'exagère peut-être mais j'étais réellement blessée et j'ai toujours eu peur que mes plaies s'agrandissent. Je voulais vivre un amour heureux mais j'étais incapable d'avoir confiance en un homme. Avec Shôji c'est différent. Il est peut-être comme les autres mais pour moi il est différent. Avec lui je me sens toujours bien, parce qu'il apaise mon cœur. Il m'a finalement retrouvé parmi la foule des habitants de Tokyo. Nous sommes retournés ensemble à l'hôtel où Jun m'a donné mes affaires avant de me claquer la porte au nez. Shôji et moi sommes donc allés nous installer dans la deuxième chambre. Nous avons un peu parlé et puis il me l'a dit. Je me souviens que c'était si beau que j'en ai pleuré. J'étais si heureuse qu'il m'ait chuchoté à l'oreille qu'il m'aimait du plus profond de son âme... Je voulais vivre un amour heureux, romantique et dramatique comme au cinéma. L'été de mes dix-sept ans je suis devenue femme et j'ai réalisé que les hommes n'étaient pas si doux que ça... mais tout est relatif.

Comme je l'avais promis à mon petit ami, je suis retournée dans ma ville natale. L'amour longue distance était vraiment difficile mais je me concentrais sur mon travail pour gagner le plus d'argent possible.

Je m'appelle Nana Komatsu
J'ai dix-neuf ans
Gare à toi, Roi Des Démons!
~
Dis, Nana
Tu te souviens de notre rencontre?
Moi, je suis plutôt du genre à croire à ce que l'on appelle le destin
Tu peux rire.

Mon arrivée à Tokyo n'a pas été l'une des plus singulière dans l'ensemble, bien que ma rencontre avec une fille très classe dans le train ai égayé ces six heures de voyage. Elle possédait une bague de marque Vivienne Westwood, signe de grande classe. Un petit visage très fin, digne d'une actrice, avec, à la bouche, une cigarette. Alors, quand elle m'a demandé si la fumée ne me gênais pas, je me sentais très bizarre, comme un étrange pincement au cœur. Cette fille avait une voix grave, cassée, mais restait très classe. Je l'ai tout de suite admirée.
Il se trouve que cette fille a changé toute ma vie.

1623 mots

Fiche FINIIIIIIE!

Très jolie fiche, bien écrite, tu t'améliores ^^

Quelques remarques u_u:
-On dit anxiété et non anxiosité xD
-Tu n'as pas mentionné sa tendance à tomber amoureuse de tout ce qui bouge dans la description psychologique
-Takumi et sa fille n'apparaissent pas dans l'histoire alors qu'ils sont mentionnés dans les descriptions. Il faut choisir à quel moment de sa vie tu veux jouer Hachi, au début du manga ou à la fin Razz

Wala ^o^

H

~

J

T

Hachi-d'amour

<3

*Excusez-moi pour mon absence >w< ça m'est tombé dessus sans prévenir u_u*

» Absence de Nana Komatsu